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 LA PÉRIODE DE CROISSANCE: Culture du Cannabis en Placard
 
 
Une fois les semences germées, les plants entrent dans une phase de
croissance rapide de la tige et des feuilles. Ce stade est connu sous le nom de période de croissance végétale. Dans de bonnes conditions, un plant arrive à produire trois à quatre niveaux de feuilles dès les dix premiers jours. Ensuite commence la véritable période de croissance, tant au niveau de la tête que des branches latérales. Vers la fin du premier mois, une plante en bonne santé atteint généralement 30 à
50 cm. Au bout de deux mois, un plant mesurera de 60 à 90 cm selon les conditions et les espèces. La croissance est stimulée par l'exposition à la lumière intense et par l'apport de gaz carbonique (C02). Placés dans des récipients de taille adéquate, les clones poussent très vite pendant les
premières semaines, généralement plus vite encore que les semis. Les clones développent une plus grosse tige, avec des espaces plus courts entre les noeuds, et leur arborescence est parfois différente de celle de leurs congénères issus des semis.

Video de la croissance du cannabis de graine à récolte:

 
LA LUMIÈRE
Pendant la période de croissance végétale, ou phase végétative, les plants réagissent mieux si la lumière est maintenue constamment allumée. Les plants n'ont nullement besoin de "période de repos". Certains planteurs économisent sur les frais occasionnés par le fonctionnement de lampes à haut wattage en les arrêtant d'une à six heures sur vingt-quatre. Cependant, il ne faut pas perdre de vue que les investissements autres que l'électricité (loyer, temps passé et prise de risque) restent fixes, quel que soit le cycle de lumière adopté.
Pour que le jardin soit le plus opérationnel possible, il doit pouvoir bénéficier d'un cycle de lumière continu. En effet, il revient plus cher aux planteurs d'obtenir une trentaine de grammes de fleurs et boutons sur la base d'un cycle de 18 plutôt qu'en continu. Cela dit, la possibilité de jongler entre heures creuses et heures pleines peut rendre souhaitable l'interruption de l'éclairage pendant un temps donné.
 
L'IRRIGATION
Les systèmes hydroponiques à réservoir et à mèche sont autorégulés : le substrat absorbe l'eau par capillarité dans le réservoir de façon à mAn­tenir un niveau constant d'humidité. Ce sont les réservoirs qui doivent être remplis périodiquement. De gros plants utilisent plus d'eau que les petits, leur réservoir doit donc être contrôlé plus souvent. Une fois celui-ci rempli de la solution enrichie, l'eau que l'on y ajoutera doit être au bon pH et non enrichie.
Les systèmes hydroponiques actifs fonctionnent suivant des schémas d'irrigation différents. Les systèmes goutte-à-goutte à substrat "humide" (vermicuhte, perlite, laine de roche) sont généralement arrosés d'une à quatre fois par jour. Les systèmes utilisant des substrats "aecs," (billes d'ar­gile, gravier) sont souvent, voire constamment, placés sous l'effet du goutte-à-goutte. Si ce n'est pas le cas, ils nécessitent des apports en eau au minimum quatre fois par jour.
Les systèmes de table à marée sur substrat humide ont besoin d'une irrigation quotidienne (ou d'un jour sur l'autre). Si le substrat est sec
de deux à quatre fois par jour.
Dans tous les cas, l'eau des systèmes hydroponiques doit être renou­velée deux fois par mois. L'eau d'apport doit être ajustée en pH (5,5/6,5) et non enrichie.
Les plants qui poussent en substrat classique doivent également bénéficier d'une humidité constante. On les arrose généralement lorsque la croûte superficielle est devenue sèche sur environ trois centi­mètres. Même s'il n'est pas prévu d'arroser, il faut le faire dès que le substrat semble sec.

Les substrats ne doivent jamais se dessécher au point où les plants commencent à faner. Voici quelques généralisés concernant l'arrosage en terre
1. Si les plants sont petits et que le jardin est situé dans un endroit frais,
arroser tous les quatre ou cinq jours.
 
2. Si les plants sont grands, mais installés dans des pots relativement petits, le jardin étant lui même installé dans un espace chauffé, il est possible que (arrosage quotidien s'impose.
 
3. L'arrosage n'est terminé que lorsque l'eau s'écoule des pots.
 
4. On doit utiliser de l'eau tiède pour éviter de choquer ou de brûler
les racines.
 
LES NUTRIMENTS
 
On doit utiliser les engrais en suivant à la lettre leur mode d'emploi. La
pire chose que puisse faire un jardinier est de surfertiliser; c'est la mort subite des plants quasi assurée. L'eau enrichie de nutriments est changée deux fois par mois. On jette l'ancienne solution et on la remplace par
 
une nouvelle. Le système n'a pas besoin d'être rincé. La solution récu­pérée peut très bien être rentabilisée dans le jardin traditionnel.
 
L'ÉLAGAGE
Non seulement des plants de différentes variétés atteignent des hauteurs différentes, mais sur un même plant la hauteur des branches diffère également. Certaines variétés ont des rameaux assez courts, ce qui fait que la plupart des boutons apparaissent le long de la tige principale. D'autres ont au contraire de longues branches qui luttent pour obtenir elles aussi leur place dans la canopée. La taille des plants importe finale­ment assez peu, c'est le nombre de branches (de rameaux) qui doit être limité sur chaque plant.
Les plants qui poussent à trente ou plus par mètre carré ne doivent conserver que la tige principale. Les plants installés dans un espace plus grand, de dix plants par carré par exemple, peuvent conserver cinq à six rameaux. Des plantes poussant sur un mètre carré peuvent en conserver jusqu'à dix, voire plus.
Pour limiter le nombre de rameaux, les plants doivent être taillés. Cette taille doit être opérée de manière intelligente, afin que tous les plants puissent se partager la canopée. Une fois fixé le nombre de rameaux souhaitable, ceux en surplus seront sectionnés à l'aide de séca­teurs ou de ciseaux.
Si plusieurs variétés poussent dans le même jardin, il y en aura probablement de plus grandes que d'autres. Cela peut devenir un problème. Il y a deux façons de le résoudre. L'une d'elles consisxe à réduire le plant. En effet, si le sommet d'une plante est coupé, celle-ci va mettre toute son énergie dans les rameaux. I: autre façon consiste à plier la tige principale jusqu'à ce qu'une partie du tissu ligneux éclate. La plante va rapidement produire un tissu neuf pour réparer cette bles­sure, mais elle laissera également se développer des têtes tout au long de sa tige désormais horizontale.

 

TAILLE DES RAMEAUX

Ces plants ont été taillés pour ne conserver respectivement que 2, 3, 4 et 6 rameaux. Noter que chaque rameau a son propre tuteur.

 

 

 


Cette technique permet d'obtenir des boutons plus gros, plus puissants, de qualité supérieure plutôt que de conserver un plus grand nombre de boutons de moindre qualité poussant sur les branches inférieures.

LES SUPPORTS
Étant donné les conditions idéales fournies aux plants par les jardins d'intérieur, ceux-ci ont besoin d'aide pour pouvoir supporter les énormes têtes qu'ils produisent. Il existe pour cela de nombreuses méthodes. La plus simple est d'utiliser des tuteurs, fichés dans le sol ou dans le substrat et attachés à la plante au moyen de tortillons. En main­tenant leurs branches et leurs têtes, et en leur évitant de se surplomber les unes les autres, chacun des plants ainsi tuteurés reçoit sa part de la lumière.
Une autre façon d'aider les plants consiste à installer un châssis au­dessus d'eux, puis de les y attacher.

 

 

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